Convaincu de l’importance des apports curatifs de l’eau, le corps médical du Valais découvre au XIXe siècle que les eaux de Saxon ont des propriétés thérapeutiques pour les maladies de la peau. La présence d’iode en dose considérable distingue ces eaux et détermine leurs vertus spécifiques. De même, la haute teneur en fluor et en magnésium des eaux de Sembrancher, révélée au XXe siècle, explique des taux de caries dentaires très bas dans une population encore peu habituée, à cette époque, à l’hygiène buccale.
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