«La mer! partout la mer!»: dès Les Orientales (1829), Hugo se veut le travailleur de la mer. Il la contemple, il l’écoute autant qu’il s’y contemple et qu’il s’y cherche. Mais quel est ce miroir que la mer lui tend tout au long de son œuvre? Qu’y trouve-t-il? Que la mer figure-t-elle et que défigure-t-elle? Quelle est sa poétique et quelle est son esthétique? Nous lirons les grands poèmes de la mer sans oublier Gilliatt, cette «espèce de Job de l’Océan».
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